Les infrastructures rendent possibles ce qui seraient réveries impossibles.
Cependant elles ne doivent pas être une fuite en avant et les solutions doivent d'abord envisager leurs réalisations avec celles existantes ou en les rendant plus attractives.
Surtout, elles ne doivent pas être un frein à la création de communs.
La population décide de se doter de Transport Modiques et de Qualité ainsi que d'abaisser son prix d'accès voire de l'intégrer à d'autres coups pour le rendre celui-ci libre et gratuit
Bien souvent les PLU, écrits à l'ère du tout électrique et de la voiture, sang de la croissance, ont été repris de consultants communications en magicien de la communication, sans modification de fonds mais seulement de forme en intégrant quelques mots à la mode.
Pourtant rendre les cycles les bienvenus dans les immeubles plutôt qu'accrochés aux fenêtres est possibles ainsi que la reconfiguration des urbanismes pour les pietons. C'est un dessein réalisable à court terme.
Trop d'espace public sont perdus avec une exploitation commerciale qui ne retournent pas aux créateurs de l'infrastructure ou à ceux qui la maintienne.
Le problème des trotinnettes, certes sympathiques, mais qui sont des pièges pour les mal voyants, mais aussi pour les personnes agées dont les réflexes sont ralentis, doit trouver des arbitrages. Tout autant, la circulation des poussettes qui n'ont plus la possiblité de se déplacer.
De 15 000 aujourd'hui, elles devraient passer à 45 000 d'ici fin 2019.
Un revenue pour les sociétés exploitantes, mais combien d'accidents et de traumas? Equilibre précaire pour la vitesse, absence de protection, casques, poignées, ...
Renforcer les transports publics pour en réduire les besoins de déplacements, et permettre à tous des parcours sécurisé avec le moins de contraintes et de réglement de cohercition.